lundi 2 mars 2015

1pagne

dimanche 26 septembre 2010

Beurre de karité BIO



Les femmes récoltent les noix de karité entre mi-juin et mi-septembre et qui sont ensuite débarrassées de la pulpe. On obtient alors une noix dont on récupère l’amande. On la lave et la laisse sécher. Elle est ensuite concassée, torréfiée, moulue jusqu’à obtenir une pâte épaisse qui est mélangée à l’eau puis vigoureusement barattée. L’immersion dans l’eau bouillante va permettre de séparer le beurre des autres composants de l’amande, notamment les impuretés qui se déposent au fond du récipient.

Une fois retiré, le beurre flottant en surface est malaxé avant d’être cuit longuement afin de permettre à l’eau de s’évaporer et aux impuretés de se déposer. L’huile (en fait le beurre liquide) ainsi obtenue sera filtrée avant d’être conditionnée.

Le beurre de Karité contient les constituants nécessaires pour:
- L’hydratation de la peau ( partie lipidique).
- La cicatrisation, l’élasticité ( esters cinnamiques).
- La protection solaire (Karitène).
- L’effet anti-inflammatoire (esters cinnamiques).
- Retarder le vieillissement de la peau (Vitamine E).
- Protéger les cheveux.

jeudi 23 septembre 2010

vendredi 24 juillet 2009

Planète Pagne


Modèles d'inspiration occidentale ou africaine.Tous étaient coupés dans ces tissus multicolores aux effets marbrés dus à une coloration à la cire et fabriqués depuis 1846 par cette entreprise. Populaires dès le début en Afrique, les tissus portent encore écrits dessus "Vlisco Guaranteed Dutch Wax", qui se veut une signature en Afrique au même titre que Dolce Gabbana ou Nike."Nous voulons être la marque mode de l'Afrique", a expliqué Henk Bremer, le directeur artistique de Vlisco. "Nous n'essayons pas de faire des dessins africains", ajoute-t-il en rappelant que certains mettent en scène des téléphones portables, des ordinateurs ou des patins à roulettes. Aujourd'hui, le fabricant mène une véritable bataille contre la concurrence chinoise qui, dit-il, copie les dessins dès qu'ils sortent pour vendre des modèles ressemblants mais de piètre qualité, inondant les marchés africains."La concurrence chinoise est une menace. Pour le prix d'un mètre de Vlisco, vous pouvez acheter 8 à 10 copies", affirme Ed Hessing, directeur des ventes de Vlisco, qui au 19e siècle a importé aux Pays-Bas la technique du batik indonésien et commencé à vendre dans les ports leurs tissus dans les ports africains où leurs bateaux faisaient escales. A présent, elle vend dans des magasins "phare" proposant de vraies lignes de prêt-à-porter et des accessoires. Les premiers ont ouvert l'an dernier au Bénin et au Togo, en avril en Côte d'Ivoire.D'autres sont prévus au Ghana et en RD Congo fin 2009 et un autre à Paris en 2010 pour, selon M. Hessing, "atteindre la diaspora africaine en Europe".





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Le Pagne Moderne

























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